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Nouvelles en phase (Lp)

by sf5x

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      €7 EUR

     

1.
Sacrée Simone, Ton procès était théâtral ! Eblouissante artiste de spectacle Comme un tronc enfermé dans une valise trouvée un jour de pluie par un pêcheur. Zéro pointé ! La diablesse avait un regard de vautour, un regard de rapace, un véritable oiseau de proie ! Sacrée diabolique de Nancy ! Ref. : Mais où est passée l’association des sosies d’Simone Weber ? Mais où sont passés les sosies de Simone Weber ? Ils se sont réunis autour de la Purple Girl *2 Eh oui, sacrée ode à ma zone ! La violence, complexe masculin ? La douceur, réflexe féminin ? Mais quand tomberont enfin les clichés ? Je n’ai plus assez de pellicules ! Amazone au galop, traverse les plaines… Cantat, Cantat, Cantat… quant à toi ; rien à dire après ta chute dans les faiblesses des appels à la force virile. Elles se diront qu’il faudra bien un jour penser à couper toutes ses testicules en suspension ! Eh général entamons les hostilités, lançons le cancer de la prostate généralisé, remplaçant les concerts des artistes gênés près des alizés… La guerre des sexes est entamée, ça a trop duré ! Merci la science ! Merci l’progrès ! Qui rejoint les gens entre eux ? Les bébés à l'éprouvette ! *2 Ref.  Déception sentimentale, Deux sœurs chipies ! Eh oui, les majors nous arrachent les bras et les jambes du tronc de l’art, bien sûr sans manquer d’lui couper la tête ! Nous donnons l’arme à nos meurtriers, mais combien de temps laisserons-nous grandir ceux qui nous détruisent ? Il faudra peut-être penser à mettre le pouvoir quand il est malfaisant devant un tribunal plein et fort de sa puissance sentencieuse, suspicieuse et très peu ascensionnelle ! Pourtant je vois un espoir quand elles, ces demoiselles, nous rappellent à la douceur d’un Opinel virtuel que leur force est de nous donner des ailes ! Mesdemoiselles, donnez-nous des ailes ! Eh oui des ailes, des ailes, des ailes ; fais claquer celles du papillon, pour reprendre le chemin ascensionnel de rituel sensoriel… Ref. 
2.
Bass1- Bass1 04:18
Bassin/Bassin Pas prêt à faire un péplum où on s’casse le sternum, j’suis vraiment un sous-homme et pour ça y a pas de sérum, un p’tit bonhomme qui jamais n’dégomme, se mord la langue avec son chewing-gum en voulant faire des bulles de bubble-gum, sort un magnum et s’étrangle avec son rhum, saoul comme un homme, un vrai ! Fortement membré, burné, prêt à tout casser ; des billets dans l’casier, blindé d’chéquiers, ma carte surcréditée, surconsommée, surdimensionnée, les poches pleines de monnaie, ready pour faire crier les ladies et laisser tomber les bébés ! J’suis pas un steak, les couilles comme des pastèques, assis sur la banquette des toilettes, j’ai les burnettes qui touchent la cuvette, des couilles comme aç ! Plus grosses que des watermellons, pourtant j’chope pas l’melon ! Une brouette pour trimballer ma kékette ; eh mistinguette, tu veux une sucette ? Alors… Pompe le dard à ta star, c’est ton dernier rancard bientôt on me mettra au placard, car… j’ai plus l’air d’un gland’art, clochard, geignard, connard, les gènes porteurs de tares, tel un guépard à qui les miss en jarre préparent un sans-amour proche du mitard… coincé, mis à l’écart, donc… You kill kill the chorus Y a plus de chance qu’un homme avec de l’argent soit ou ait été malhonnête, plutôt qu’un nécessiteux. Trou en poche, c’est moche quand toi tu chopes le coche et empoches, j’te décoche d'ton paradis fiscal, tu cales ? Comme un joke de cristal un délire sous mescal’, ta psyché sous mistral, j’procède comme une drogue neuronale ! Bon/pas bon, voire pas beau, un jour vous en serez sûrement accro, mais là il sera peut-être trop tard, y aura plus une goutte de mes sécrétions, résonneront ainsi mes sons, cloche de l’art ou clochard ! Encore à l’écoute de ma vibration, tu corrobores un putain d’cafard… trop tard pour faire l’histoire du connard, t’sais le con qui fait d’l’art ! J’suis peut-être comme une femme frigide, pas assez rigide, désolé, on m’a juste pas donné le goût, le droit à m’éclater, à rire pour mieux m’épanouir, j’irai alors l’acquérir ou le conquérir, plutôt l’accueillir, ce putain d’bonheur qu’on trouve dans le sourire de sa femme en extase… j’suis comme un mal-baisé du mic, car pas prêt à me faire retourner, abandonné du son et d’leur putain d’compréhension ! … geindre… me plaindre… t’inquiète des toiles prêt à peindre, des situations à dépeindre, des dépressions à repeindre… Aux couleurs petit beurre du bonheur, pour que jamais tu ne meures et que chaque jour on entende encore les battements d’ton cœur, les battements d’mon cœur pour ta « sister » toujours à l’heure avec les battements d’nos cœurs ! Eh ouais j’préfère t’expliquer, chez moi c’est 50/50 et si tu m’prends pour une banque, j’préfère encore qu’tu m’prennes pour un branque, radin pas prêt à payer une catin, une accompagnatrice pour demain me suivre en ch’min, telle une monitrice qui m’dit viens et m’tient par la main, plus malin que celles qui passent de mains en mains mais jamais ne te reviennent ; pourtant des biens, j’t’en offrirai plein pour que jamais tu n’en sentes la faim et qu’il n’en reste rien sur la fin à part ce putain d’refrain : « Au quotidien, pas d’coups d’reins, être bassin/bassin avec toi, ouais ça m’convient, enivré comme après un verre de vin trop plein ! » *4 You’re riding stormed !
3.
Quand les oreilles occidentales se refusent aux appels des divinités métaphoriques! Quand les oreilles amoindries se refusent aux messages des esprits lacustres... Remontant de notre Afrique profonde, les portes se ferment et le couperet tombe...indéfiniment...indéfiniment...
4.
Juste une histoire d’lucidité Si j’dis une connerie, file-moi une tarte verbale, pas d’balle anale, ch’tite baffe et j’me rattrape ! Mais comme tu vois j’suis chétif comme un laxatif, alors m’décoche pas la mâchoire à coups de hachoir, j’suis pas un mouchard, trop d’mouchoir, car après j’fais comment pour rentrer tard le soir dans l’noir jusqu’à la baraka du dar’ évitant les bagarres issues d’racontars d’connards ! Dare-dare, j’sors mes pattes du placard et les fous dans l’falsard, un Ricard et m’rappelle que certains roulent en quatre-roues par nécessité ! Z’avez oublié leurs jambées enjambées dans la commode à la mode nécessitant l’codé et s’les ont fait « Rob dérob’ rober dérober » *4 Ref. : C’est juste une histoire d’lucidité, ouais t’as calé ! *4 Et non une histoire d’liquidité ! Certains ont choisi les bons mots, ceux qui sont dans l’dico, car pour d'autres l’argot c’est non comprendo, c’est pas leur créneau, leur credo ! Ils croient qu’c’est des rots rigolos, se lavent la bouchendo au lavabo à cause des gros mots, retournent faire dodo après un bon McDo ! Toute façon la langue est vivante enivrante et s’invente, savante, là où certains font des descentes rances et provoquent la transe au lieu d’comprendo qu’en instance les nouveaux mots n’ont pas besoin de dicendo ou d’dico rigolo… Allez, gigolo bobo au service ! J’aime les beaux mots et ils sont pas toujours dans l’codi dico décodé, mais ils balancent la transe dans la danse des sens pour plus d’effervescence ! *3 Ref. : Trop de simagrées ! J‘suis comme des taches dans l’flow et des crachats sur le mic plein d’postillons ! *2 Paraît qu’j’me prends pour un messie, on veux m’faire passer des vessies pour des lanternes, c’est ça qui s’passe à l’antenne, ça m’a lessivé, c’est si vénal, un vrai civet d’canard d’politicard ! Un fois l’an, ternes sont les nouvelles, telles sont les infos ; VRP pervers pépère, mon père en est devenu vert, d’où une paire de vers de poésie, paire de verres Martini ! Une paire de vers pour nos pairs ! Les civets au menu, les vessies tendues, des litrons par fourgons, approuver les situations perdues même si ça pue ! Bon programme pour pas prendre un gramme de raison, toute façon, tant qu’ça touche pas ma maison c’est qu’ça tourne rond ! Au fond, pognon ou déraison, tant qu’c’est mignon c’est qu’y a bon et même sans son j’veux mon ronron même si ça tourne pas rond ! Ref. : SF5X on the flow ! Low riding on riddim !
5.
L'obscurantisme se fond dans nos lits quand l'obscure antique est oubliée! Fiction, réalité toujours éloignées, on évitera ainsi les frictions obscures! Observe le résultat des cures neuronales, le lobo lobotomise sa population! Portable à la rescousse, j'ai rencontré une amie. Allo?! Les charmes tombent à l'eau! Elle est blanche, ses pas craquent, sa faux crisse. Elle interroge chacun d'entre nous pour savoir où sont les cons. C'est ceux qui répondent à ces questions sans réponse. Portable à la rescousse, j'ai trouvé la réponse. Allo?! La vie est dans un livre, on tourne les pages, lobo, lobo, lobo, labo lobotomisé, lobo-atomisé, laboratoires atomisés! Vous aviez alors misé sur la tôle, sur le virtuel, sur le mobile, sur statique, sur les statistiques, sur...enfin ça c'est sûr, vous aviez misé en bourse, la minute de silence...X 3...
6.
Sobre Sot 03:57
Sobre Sot Le dialogue est un monologue intérieur prononcé à voix haute… à haute voix ! Nous sommes sourds au dialogue… et on attend l’épilogue en comblant le vide d’un surplus de dialogues sourds… assourdissant tumulte verbal, on n’a pas entendu sonner la cloche de fin de parcours… encore une bonne raison d’être à la bourre ! C’est donc l’histoire de Fissa et Nissa, deux grosses pédales un peu vandales qui ont explosé le dérailleur de leur vélo volé, ils s’y sont lovés, ont forcé sur le pédalier, en pleine vitesse, la tête dans le guidon, n’ont géré aucun stress, la bite prise dans les rayons ; faites sonner la sonnette de la kermesse, hachis parmentier d’une paire de kékettes ! Ça vous fixe un cadre, un contexte à tous ceux qui ne peuvent encadrer mes cons d’textes ! C’était donc l’histoire de Fissa et Nissa, résolvez l’équation d’cette rédaction, car bien entendu, aucun sous-entendu… A force, ils n’ont pu remonter sur leur selle, trop mal au cul, se sont rattachés à leur jouvencelles, ont dû serrer les fesses à la messe, tentant d’gérer leur fuite de selles, évitant ainsi les traces de pneu, dérapage à chaque fin d’page, leurs sous-vêtements striés de taches crades, les couilles baignant dans la marmelade… et c’est à ce moment-là qu’l’histoire tourne court, à court d’élément le conteur s’était enfin rendu compte qu’il manquait quelques éléments à son cours et à son tour l’auditeur pédale dans la s’moule… alors roule cousin, pédale, pédale, c’est bien un jeu de mots à 2 balles alors la roue tourne alors… « Ainsi certaines gens, faisant les empressés, S’introduisent dans les affaires: Ils font partout les nécessaires, Et, partout importuns, devraient être chassés ! » Ref. : Pulse, repulse et répulse ! Pulse, répulse et repulse ! *4 Us et coutumes dans le bac à sable où la muse, instigatrice d’un monde en culture, nous raconte les contes des Mille et Une Nuits, partage sa beauté, nous parle d’un pote qu’avait un beau pied avec son pied-bot ; botte en touche ! Mais comme la beauté ne se laisse pas séduire, la femme raconte chaque soir une nouvelle histoire ; la muse instigatrice du désespoir !... dixit Le P'tit Larousse !… ah, sacré Robert, t’as trique quand t’as aperçu ses gros roberts ! C’était comme une prise d’otage dans les péages, autoroute visuelle, des pubs à chaque virage, direction le parking, histoire de marketing sur cette route bien goudronnée où tu as enfin pu la retourner ! Eh lolo ! Loches qui décochent mais quand t’es moche tu peux t’la mettre dans la poche, avoir la mouche du coche en poche, t’encoches quand t’empoches, et là… Eh lolo ! Loches qui décochent même si t’es moche, file droit direction avenue Hoch, t’as pris la mouche vu qu’t’es auch, tâte donc tes baloches, t’as quelques euros dans tes poches qui s’effilochent, et là… Lolo, gros, t’as oublié l’coup d’l’auto et son lot de soubresauts, sombre sot ! Et c’est là qu’tu r’marques qu’les gros roberts au bord du vestiaire au coin d’la route, ça t’titille et t’met en déroute, banqueroute ! C’était bien une prise d’otage comme au péage… Alors revenons à nos moutons, car Nissa et Fissa, papa, c’était une meuf et un gars ou bien les seins d’ma meuf, dans l’œuf y avait pas d’reuf, alors, j’la ref'rai pas à l’envers, vers à l’envers tu m’ét’ qu’on parle de travers, instincts grégaires sans guerre et peu sanguinaires, reprends la route vers out de out et c’est un tout en sol ou clef d’fa en tout cas t’as pas les clefs d’la bagnole alors pédale, pédale avec tes jeux de mots à 2 balles, appuie là où ça fait mal, j’trace retrouver les seins d’ma meuf histoire qu’ça… Ref. : Nan, t'inquiète, Il n’a renié Ni sa mère Ni son père Et fit sa prière, c’est ça l’histoire de Nissa et Fissa… … ou peut-être bien qu’c’était Nina et Fina? Ok, j’sais plus, c’est la fine ! Il film e finito ! Il bambino, il gattopardo, il gattino ! … l’histoire est finie… this is the end, my only friend the end !
7.
Mode Fusée (feat. Mc Sma) Un peu d’silence mes agneaux, Vous avez réussi à écraser un escargot ? Vous êtes vraiment trop des pros ! Alors là, chapeau bas ! STP, confonds pas télépathe avec psychopathe Alors mate et tâte ta patate ou joue au Tac-o-Tac ! Peu importe si j’m’emporte, j’fais pas dans l’porte-à-porte, ça m’insupporte qu’on m’prenne pour un cloporte mais j’supporte ! Ne pas s’inquiéter, destinée juste reportée, j’me ferai pas déporter, préfère me téléporter, j’sais m’téléporter… Apportez, un porc, du thé au portier, il portait vos bagages de tueur à gages ! Baba à tout âge, Mage magique qui chope la trique et ouvre la porte chamanique ! C’est comme ça qu’j’me transporte, c’est comme ça qu’ça s’passe quand j’m'emporte ! La magie rapporte ? Pfffff, bullshit ! L’élévation les connexions m’ont rapporté la transcendance en toute conscience ! C’est import/export, alors allez vous faire foutre et bouffe mon foutre quand… Ref. : J’mitraille des rimes fécondes, des rimes fertiles Alors on va décoller ; mode fusée ! Fais monter, j’prends mon pied, prends ton pied ! *4 Le pire c’est qu’ils croient qu’j’fais partie du Bambi Crew ! Pourquoi pas Minnie Crew ? J’suis plus dans l’coup, c’est trop relou, on va se faire des pouillous/pouillous dans l’style baba-cool, plutôt Old School ou New School ? J’déboule avec une belle paire de boules, ça t’chamboule la moule ! Ouh ouh !... I’m chocking ! Yet, I’m breaking ! T’inquiète, j’débarque avec une coupe à la Mireille Mathieu, j’passe pour un gueux malheureux, et mon pantalon, ça va ? Il me rentre pas trop entre les fesses ? Et les plis, là, en bas, ils tombent bien sur les chaussures ? Ça fait pas trop raclure, limite ordure, vieille pourriture en suspension ? Eh, t’as vu la carrure ? Prêtes, attention ! Ça m’sert pas trop la bite dans l’style coureur cycliste en moule-boulles ? J’suis un agitateur "has been" complètement en toc comme un vieux schnock naze-broc qui débloque, nardenamok faut qu’j’arrête de faire le coq o’clock, québlo qu’on bloque dans l’rock, cotcotcot poule iémoue, t’es trop mou, trop relou, alors tourne la page, prends tes bagages, deviens tueur à gages, oublie ton âge, oublie ta rage, gagne un étage dans l’orage mage, détruis les clivages… C’est import/export, alors allez vous faire foutre et bouffe mon foutre quand… Ref. : J’suis l’poireau qui s’exprime et les déprime, faut pas qu’j’m’exprime, ça m’déprime mais en prime quand ils s’expriment, ça m’déprime, pire… quand j’déprime, ça les déprime, que faire ? De prime abord, tout balancer à bâbord, à tribord, par-dessus bord, par-dessus tous les bords ! Alors en prime time, Caliméro fait son show, Cosette suce des kékettes C’est un caprice des dieux perdus dans la détresse, la spirale de la déprime ça m’stresse, faut qu’j’balance des rimes ! Pire… y paraît qu’le hip-hop, le rap, c’est que pour ceux qui s’foutent sur la gueule ! Moi, gueulton, mecton, j’pensais qu’c’était pour ceux qui kiffent le son et la tchatche, con ! Pas pour les boxeurs à toute heure, plutôt pour les râleurs de première heure, des gueuleurs, des geigneurs, des créateurs en fait ! Ouais, j’sais on dit geignard, ta gueule j’en ai marre ; j’suis dans l’art ! Alors j’adapte en continu mon flow de mots 100 % Caliméro, pas pour faire le beau, sûr, plus le genre poivrot, maigre comme un clou, et oui, j’en ai rien à foutre de outre, alors allez vous faire foutre et bouffe mon foutre quand… Ref. : Final de Mc Sma : Sur le fil du rasoir il fait danser son pantin, l’innocence panse ses blessures c’est enfantin De faire danser ses idéaux à voix basse devant lui comme un fantôme, de divulguer des idées hautes à voix basse comme un fantasme !
8.
Coup de stress Heureusement, j’avais pris du papier pour pouvoir ligner, aligner des personnes désignées par les pages de mes cahiers, inscrire des rimes en « é » bien dans le style français, ça devrait m’calmer, mieux qu’d’allumer des paquets entiers de tabac amovible, j’suis l’style risible qui s’vide en rédigeant des bides… Auto-dépréciatif et branleur, le style glandeur à toute heure… C’est pas à moi à m’donner d’la valeur, j’suis qu’un leurre intégral, le style usurpateur en quête du Graal, t’sais, celui qui s’auto-mandale en technique verbale dans… Un p’tit bout de texte en coup de stress ! Après j’ai bouffé comme un porc, j’me suis gavé d’ça s’discute et j’ai regardé un feuilleton sur une meuf boulimique qui s’défile, ça m’file la trique comme un déclic qui file des clics et des claques, pack, opaque comme un caisson claustro, enfermé comme au boulot, coincé comme un cuisto, scotché au micro comme un clodo à sa Kro, gueulant des métaphores qui m’filent des gueules d’amphore ! Pire qu’une gueule de bois ou qu’une jambe en bois, vos attitudes risquent de me couronner roi d’la reine, roi d’la haine quand j’avais la haine des rois, et moi, et moi, et moi… après tout pourquoi pas et surtout c’est qu’ça va d’soi… Dans : Ref. : Un p’tit bout de texte en coup de stress ! *4 Un p’tit bout de texte en coup de stress ! *4 Fuck off les faux keufs ! Ils me sous-entendent que j’dois les mettre à l’amende, alors tais-toi car moi c’est moi et toi t’es toi du coup tais-toi; bouche close face au virtuose de la rime, qui suit pas l’pied, fuis et se faufile dans l’beat, prise à contre-pied! Décalage dans les virages du rythme, dans les rivages du flow, c’est comme un mirage, une lecture entre les lignes, un saccage épistolaire, un évantrage de mélodie, déclanchage de Rapsodie, décalage dans l’urinoir, au fond on a la rage, on est en nage, peu importe l’âge du mage, au fond il est bien sage, le bougre ! En décalé il fait l’teubé ! Il sait plus quand il suit plus l’rythme, on a perdu la mélodie ! Il sait plus quand de quoi de che de comment, il fuit l’rythme, fait enfin tomber la pluie ; et oui, c’est lui le maître de la pluie, la danse du vent, quand il a la rage, fait tonner l’orage ! Sacrément sage le mage pour satisfaire l’affichage des décalages horaires ! En clair, comme un gros blaire, il le fait à l’envers, sacré mettre des vers ; poète, ète’po à l’envers, c’est sa manière de balancer des glaires ! Ref.  C’est la débâcle dans l’spectacle, on est fade et maussade, va falloir exploser des barricades ! Mais désolé, chétif, j’suis un laxatif mélangé avec un sédatif, demande à celles qui s’endorment quand j’leur tchatche, pute ! Une bonne bite au cul ça te réveillerait tout ça ! Connasse ! Une grosse masse, pécho d’l’héro à Maas…tricht, ça te f’ra maigrir, tu t’enfonceras dans la mélasse avec classe, pétasse ! J’te fous dans la crasse, grognasse… Kiss my ass, my dick in your ass… asshole au vitriol… nan j’rigole, j’rigole… Au bowling tu mettrais absolument toutes les boules dans la rigole, gogol, alors pèse mes boules, tâte mes couilles, tu mouilles cash, hein ! Kasher, peu chère, toi tu t’en fous, tu veux juste du luxe ou avoir un air de luxe ! Ouais, j’sais, j’tchatche trop et j’ai failli m’luxer la langue… déchirure musculaire ! A cette allure j’pourrai plus te faire de cuni, un p’tit titillage clitoridien, pas trop vilain… mais j’me suis foulé la langue dans… Ref. On vit mieux quand on est un peu teubé et pis c’est tellement bon être con ; pourquoi j’y avais pas pensé avant ? Tellement j’suis con ! Allez et pis basta ! ssssssstabah !
9.
Les brutes en rute, rude, rude, rude, rudesse ou sempiternelle allégresse… Les vestes et vestons au placard, les râles des amants de passage ou les bonheurs dérisoires, il en va de quelques mots comme d’immenses tornades ou de l’infiniment chétif comme des grands molosses, rongés jusqu’à l’os par de petits vermisseaux ! Si les valses en mouvement ne se perdaient plus dans de sombres faux-semblants, les séducteurs ou galants de bonheur joueraient des tours magiques aux prétendantes, aux promises : Faire nonchalamment glisser leurs lunettes sur leur ridicule petit nez, les protégeant ainsi des éblouissements d’un conteur émérite ou sans mérite… Ampleur des épaules oubliées, prose en escarmouche, prose en pause qui décompose… Ampleur des épaules oubliées, grandiloquent, vociférant, parfois même blasphémant… Il est maintenant l’heure de prendre la pose, dégainant des roses, bouquet flétri, bouquet pétri… La dégaine, dégaine des brutes en rute, rude rudesse en allégresse… La prose recompose et récompense le flottement des pas aériens, le balancement des rythmes féminins ! Chaloupé subtil… Il n’y a que des coquins, des séducteurs à l’hypocrisie maladive, comme tant de symptômes qui constituent les maladies du cœur humain… Malheureux ceux qui ne souffrent pas de ces maux qu’on appelle séduction… Trop de franchise et d’humilité, dans ce cœur innocent ! Feindre les amours égarés comme autant de mains perdues Feindre les amours perdus comme autant de mains égarées Où sont les feux follets fleurissant sur les tombes comme autant de réceptacles aux ébats, enveloppés dans des débâcles calcinées ? Enracinées, tubercules retournés en opercules ou autres pédoncules tondus au bord du rasoir ; définitivement, ils nous taillent l’ennuie et la monotonie jacassante des débats stériles, de discussions volatiles en oraisons volages ! Effleurer la glace, refroidir les traces des eaux moribondes ; destins futiles des vallées traversées par quelques ruisseaux cristallisés, cours d’eau amorphes, gouttes de sueur sur les fronts aux crispations évidentes, rides creusées comme autant de sillons dans la roche ; faites sonner tourner le vinyle ! Dégoût des gouttes, il est pourtant temps pour nous de goûter à quelques rivières salées. Torches allumées, mélancolies évaporées à jamais ! Autant de sachets éventrés au bord des fleuves ardents, réchauffant des Opinel déjà rouillés par la mouise et le temps qui passe inutilement. La lame roule, la lame rouille sous le coup des larmes… D’où les sanglots du tétanos Quelques sanglots tétanisés Ou encore un tétanos sanglotant… C’est "L’Histoire des Titans sanglotant" Tito sans l’OTAN Tito sanglotant Sangle l’OTAN (comme tétanisé bien évidemment)
10.
Mystik ou Faux-Semblants Ref. : Partout c’est la danse des faux-semblants quand les gens font semblant on sent s’agiter la faux sanglant l’horizon, faussant les prévisions, faussant les prédictions ! Tu l’as toujours su et un jour tu l’as plus cru avec ta gueule à la Picasso ! Tu as une face à chier, un rire à pisser, regard de bulbe, vision d’voûte plantaire… mais t’inquiète, si elles te kiffent c’est qu’elles ont d’la merde dans les yeux, tu t’crois beau, tu t’crois intelligent avec ta gueule à la Francis Bacon congénitale ; qui s’intéresse réellement à toi, sombre crétin à la syphilis neuronale ? Quand la goutte tombe dans l’océan, sens l’eau secouée par les spasmes des squales à la dérive ! *2 Bien sûr quand tu joues des airs de Prince, presque tu s’rais fier, on te crache à la gueule tu t’la pètes ! Bien sûr tes épaules voûtées par l’humilité et le poids des sévices, on t’crache à la gueule tellement t’as l’air d’une merde ! En tout cas, intellectuel du rectum, ton concept te sied bien et mes toilettes en portent la preuve ! Ref. : Au Discount j’achète la nuit en boîte, quand d’une patte je boite et que d’un membre j’emboîte, les féminités nocturnes toutes se déboîtent quand j’m’emboîte et qu’au clair de lune aux baladins j’emboîte le pas, bien sûr à cloche-pied et à votre santé… Tu l’as toujours su, déjection à la dérive au croisement des fausses sceptiques, évite les sceptiques et leur maladie transmissible, maladie d’la foi qui t’arrache le foie ! Tu n’es qu’un déchet à jeter au vide-ordures, raclure de bitture, tes abcès sont enfin mûrs ; refoulement d’l’humanité, on va t’liquéfier et t’enfoncer entre les moulures des plinthes pour ne plus entendre tes plaintes et tes complaintes. Où sont les rires ? Au fond de tes entrailles, ils résonnent comme des borborygmes avec ta voix de techio en phase chasse d’eau ! Eh oui, ça va et ça s’transforme en chasse à l’homme ! En tout cas, intellectuel du rectum, ton concept te sied bien et dans la peau d’un p’tit bonhomme, je m’y sens biennn ! *2 Ref. : En même temps c’est 50/50, fifty/fifty, pour d’autres c’est j’me lâche et comme une salope j’dégage, j’me libère et traine qu’avec des blairs, confusion d’allusions… Pour elles c’est j’me restreins, aliénées, mode grenouille de bénitier aux pieds coincés, allusion aux confusions… Tout c’que j’dis, que j’écris, c’est comme d’autres vomissent à la petite semaine, tes lignes sont comme des traces de pneu dans l’caleçon, ta poésie se rédige comme d’autres se torchent, tu essuies ta psychologie avec les pages de tes cahiers ; poète ? Encore moins chanteur, sombre crétin tu n’es pas musicien et même les collégiens écrivent à la craie sur ton tableau noir du malheur, avec leurs petites mains : "Il a un grain, trop vilain pas malin; Il a un grain, pas malin trop vilain !" Pourtant t’inquiète man, connexion, tu connais la vibration et l’pouvoir des mots, seule la magie sait à qui ils sont destinés, alors file droit vers ta destinée… l’erreur est humaine, laisse-les s’tromper sur ton compte, les divinités ont la visée bien affûtée et ne s’trompent jamais ! Intellectuel du rectum, ton concept te sied bien et mes toilettes sont enflammées… et mes toilettes sont enflammées !
11.
Ghetto Mental J’en place une pour les astres avant que ça ne soit le désastre, parfois j’en perds mon inspiration en même temps qu’mon pantalon et caleçon, des fois grognon… ou escargot dans l’flow ! Tu viens, on fait un Scrabble à base de crumble, c’est comme jouer au Rubik's Cube avec Ice Cube, on t’entube à partir de nos tubes… abscons… Lévitatioooooon ! Un renégade anti-sérénade… un bon pays d’fachos rétros, un pays d’alcoolos ! On s’y est tellement acclimaté, intégré qu’on en est même devenu bourré de nuit comme en pleine journée ! Ref. : Si tu veux rentre Dans mon ghetto, gâteau ! Si tu veux prendre Un ghetto, pardon non, un gâteau ! On m’a dit qu’un gars honnête jamais ne s’endette. En clair, un homme sans dette est déjà à moitié riche ! Mais moi, j’m’endette, merde aux dettes plutôt que d’dire merde à Odette ! Alors si t’es chiche, annule leur dette ! En clair, j’parle que de ma gueule, de mes p’tits problèmes, de mon p’tit : « Personne ne m’aime ! » En plein air, toute la nuit je feule ! Des mouches j’en becte pour que ça te débecte et que le malheur du reste du monde te paraisse encore plus immonde ! Je jacte mes p’tits problèmes de caca, c’est l’plus gros d’mes tracas, alors là juge-moi… « Agis et investis-toi, ta parole brillera… » En réaction deviens le bien, apportes-en plein, deviens supermalin, car moi, je n’suis qu’une cible, risible et carrément horrible ! Bienvenu dans mon ghetto mental ! *2 Tu sais ce que c’est un utérus superficiel qui rencontre un phallus artificiel ? Une fille qu’a oublié les déconvenues du couple et retrouve un orgasme souple, pas plus frigide qu’une soupe. Alors si t’aimes quand j’bave et surtout quand j’en bave, ouvre tes écoutilles, acide citrique de conneries, je surbave la misogynie en sourdine et emmerde les subjectivités d’bourrines ! Du venin à chaque ref'rain, mon fiel à ton oreille devient alors du miel, ça flatte mon orgueil de faire de l’oseille, faire un Tetris avec des tétraplégiques c’est pareil, pour la déconstruction d’l’Amazonie, personne ne se réveille ! C’est ça mon ghetto mental, paranoïde, schizoïde, bloc de neurones concassés ! Ref. : Mon argot a un certain style, c’est presque freestyle ! Tes ragots, en vers d’racailles, m’ramènent d’la maille ! *3 Sunset Beach ! 5.7. Bitch………..es !
12.

about

Merci pour votre écoute et pour avoir eu la patience de tenter d'entrer dans mon Univers de Mc "FilsàPapa"!...
Merci à tous mes ami(e)s qui me soutiennent et m'acceptent malgré mes gros défauts et n'essaient pas de me juger sur des a-prioris.
Merci à ceux qui m'aident de près ou de loin, merci à ma famille, à tous ceux qui sont partis et que je garde au chaud au fond du coeur.
Merci à ceux qui ne m'en collent pas deux dans la gueule ou des coups de couteaux parce que je fais le zouave bourré qui cherche à aligner le maximum de conneries à la seconde pour se détendre le cerveau.
Merci à ceux qui prennent le temps de comprendre que l'être humain est complexe et qu'on ne peux pas le juger en un bloc ! La complexité des individus ralentit et obscurantit les relations humaines!

J'ai tenté une implantation neuronale: sans succès!

PEACE, UNITED, LOVE and HAVING FUN!

Et n'oubliez pas de vous mobiliser...

Déclaration de paix dans la communauté Hip-Hop:
www.declaration-of-peace.com/fr/

credits

released November 2, 2018

Ces titres sont également protégés par l'AIMSA et le texte du titre "Histoire D" a également été publié dans le recueil "Subterfuges de rimes enchevêtrées" publié chez Edilivre à compte d'auteur.

Les sons des titres "Sobre Sot" et "Histoire D" sont signés Hadj Lambda à partir des instrus "Sombre Son" et "Tinoan". Ceux de "Maikikidilui?", "Juste une Histoire de Lucidité" et "Coup 2 Stress" sont signés Messaoud à partir des instrus "Sentence", "Pulsation" et "Rabagal". Enfin, ceux de "Bass1/Bass1", "Mode fusée" et "Mystik ou Faux-Semblant" sont signés par Yuhl à partir des instrus "Destination Finale", "La Guerre des Mondes" et "Mystik".
Hadj Lambda, Messaoud et Yuhl font parti du collectif Eclypse Production/Be Real Music.
"BigHarryBelafont'Up" est un remix réalisé à partir du titre "Day-O(Banana Boat Song)" d'Harry Belafonte. "Ghetto Mental" est inspiré par l'instru "Scene^1" d'Elephant Master, batteur du groupe Lt Smash.
Les pistes basse et guitare électrique sur "Bass1/Bass1" et "Coup 2 stress" ont été enregistrées et mixées par sf5x. Les guitares acoustiques et électriques de "Mystik ou faux semblant" ont été également réalisées et mixées par sf5x.
L'Acte 1 et 2 ont été réalisé par sf5x à partir de son du groupe Laxa_Tif avec l'apparition d'une base instrumentale des Beasties Boys sur l'Acte 2.
Textes écrits et vocaux enregistrés/mixés par sf5x avec le soutien d'OpresKon(e)s sur certains morceaux. Certaines pistes vocales ont été enregistrées avec l'aide de Christian et de toute l'équipe de La Battucada (Metz).
Les textes sont basés sur les principes d'une technique en auto-flagellation primaire! Merci à Mc Sma pour son apparition sur le morceau "Mode Fusée" ainsi qu'à Alcooline pour ses vocaux sur "Histoire D".
Mastering de l'album réalisé par Jean-Michel MAUFFRAY de Dakota Production.

Pochette réalisée par House Of M www.houseofm.fr

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sf5x Marseille, France

Actuellement il se prépare à une nouvelle étape dans sa vie et carrière en ouvrant un nouveau chapitre grâce au déménagement à Marseille. De nombreuses démos à finaliser grâce à de futures rencontres musicales ainsi que de nombreux autres titres en attente... Plusieurs albums sous le coude !

On espère, l'occasion enfin pour cet artiste de trouver son public et faire sa place dans le milieu.
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