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Subterfuges
Non-acceptation de la réalité.
Où es-tu petit ami ?
Où cours-tu avec ce filet ?
Chercher des huîtres pour accompagner un vin délicieux…
Un point au coeur torsade mon rythme de façade,
Non acceptation des crispations faciales…
Les rimes à maladies sporadiques dessinent des étreintes désinvoltes, oubliées, si vite exécutées…
Nous nous étions alors noyés dans cette baignoire sans fond quand les spectateurs avaient crié au subterfuge. (vérifions l’orthographe)
A quand le déluge ? (vérifions la date)
Mais que ne sus-je ? (vérifions notre vieux François)
Les rimes dérivent vers des hymnes nouveaux, nouvelles connections synaptiques, avons-nous à faire à quelques ringardises ou autres friandises…Il y a maldonne sur la marchandise…En êtes oups…en est-on sûr ou est-ce seulement une non-acceptation de la réalité ?
Subterfuge, mais qui ne fus-je ?
La suite aux oubliettes
Entre quelques bouchons de liège beige,
Quelques gouttes rouges dans la neige.
Traces de vins ou hémoglobine oubliée par un enfant étranglé par son filet ...
Non, surement une erreur dans le scénario comme ces amants amnésiques ;
Ils ont perdu ou déchiré la fin de leur livre à l’eau de rose…
Ils ont voilé la fin des bandes de leurs vidéocassettes hollywoodiennes et cherchent celles de leurs collections de Woody Allen…
Encore un subterfuge pour masquer la réalité…ou une non-acceptation de la réalité !?
Subterfuge, mais qui ne fus-je ?
Et oui, usurpateur et branleur à toutes heures…
Et oui, usurpatrice, manipulatrices et castratrice…
Et oui, usurpateur et branleur à toutes heures…
Et oui, usurpatrice, manipulatrices et castratrice…
(Attention, bien lire entre les lignes, l’amour s’y cache souvent, s’y terre régulièrement, voir…)
Goutte d’eau sur pierre brûlante.
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